Un changement d'avion n'est pas anodin aussi, étant habitué au Piper Tomahawk, il me faut m'entraîner de nouveau avec le C172 afin de maîtriser ses réactions spécifiques.

Juste après le décollage, on peut remarquer, sur la gauche, les installations de l'aéroport du Lamentin avec en prime, un ATR42 d' Air Caraïbes

La vigilence est de mise car il faut effectuer simultanément plusieurs tâches : garder l'alignement de la piste ainsi que la bonne pente de descente, garder un oeil à la vitesse pour éviter de décrocher (et de s'écraser si celle-ci est trop basse) ou d'arracher les volets (si celle-ci est trop élevée) et éventuellement obtenir l'autorisation d'atterrir si elle n'a pas déjà été donnée... Tout cela avec du vent qui, bien souvent, tourbillonne un peu dans tous les sens !

Moteur tout réduit, volets 40°, 65kts : on a du mal à la rejoindre cette piste ! Il s'agit en effet de la fin d'une PTE (exercice d'atterrissage sans moteur) un peu trop longue. Il faut dire que le 172M plane énormément et hop! on a raté les plots ! (carrés blancs servant de repère pour l'atterrissage). Heureusement qu'elle est longue cette piste...

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